question personnelle et indicrete

et oui, j'aimerait savoir si d'entre vous ont des enfants?

si oui qu'elle age.

je sait que c'est indicret de poser la question à des inconnus mais sa va m'apprend à mieux vous connaitre.

je me lance moi j'en est 4 hi hi hi donc je suis maman à temps pleins à la maison, c'est pour ça que je suis souvent ici, quand ils sont coucher ou parties à l'école.

un de 13 ans qui joue mais est dans le clan de mage noire (Payros prête).
une de 12 ans
une de 10 ans
et la dernière 9 ans.

Je vous souhaite un joyeux Noel et passer de belles fêtes

Ce n'est pas plus indiscret que cela. On est libre de répondre ou non.

Alors pour ma part, je suis papa de 2 enfants.

Une fille de 13 ans1/2, qui se prénomme Jennifer,

Un garçon de 11 ans, qui se prénomme Vincent.

Tu n'as pas chômé, Bartok, pour en avoir 4. Moi, je n'en ai que 2, bon c'était un choix aussi. De plus, j'ai profité un max de ma jeunesse et même un peu plus, ce qui fait que je les ai eu assez tard.

merci de ta réponse, je me disait aussi que tu étais paternaliste

je suis contente de pouvoir partager avec vous nos plus grande joie, nos enfants.

amitié

Le fougueux Johrel, ne l'est pas qu’ici. Je ne suis attaché que par ma copine, je n'ai guerre d'enfant. Non que je n'en veuille pas mais je suis encore a l'école. Dans notre société sa deviens presque incompatible.

Des que j'ai le diplôme a 22 ans si tout va bien ^^ je me laisse une période de moins de 5 ans pour me décider et en faire au moins un.

Voila.

tu as encore beaucoup de temps devant toi mon jeune ami, tu es très sage dans le sens de sagesse lol!.

profite de ta jeunesse, sa vaut la peine ensuite quand c'est le temps et la bonne personne tout se fait tout seul.

Johrel, écoutes le message d'un ancien!!!

Prends le temps de vivre, profites de tous les instants qui se présentes à toi, amuses toi, éclates toi, seul ou avec ta copine.

Prends de bonnes assisses, dans la vie.

Et après, fonde une famille qui tienne la route.

Je ne donnerai pas toute mon expérience personnelle car cela serait beaucoup trop long et rébarbatif, mais sache que j'ai divorcé plusieurs fois avant de trouver la personne avec qui j'ai décidé de me marier et de fonder une famille. Mon avantage, était que je n'avais pas d'enfants.

Et j'ai attendu, d'avoir **ans, pour me décider à avoir le premier de mes 2 enfants.

La vie après, n'est plus du tout la même, on ne vit plus pour soi mais pour eux.

C'est aussi une très belle expérience, qui vaut la peine d'être vécue.

Je reprends ma canne et m'en retourne...

^^ Il est vrai qu'une fois installez ou une fois les objectif personnels atteints on veux vivre pour quelqu'un d'autre.

Et bien pour ma part , deux garçons agés de 5 et 3 ans et la petit dernière agée d'à peine 5 mois.
Le tout à seulement 32 ans , je trouve que je n'ai pas trop trainé en route !!!

Mais quel bonheur , c'est certains que c'est du boulot, de l'angoisse , et des joies .... mais c'est avant tout ma plus grande fierté !!!

(enfin pour l'instant.... )

de tout jeune enfant, félicitation Saham pour le ti bb encore tout neuf.

Sa me fait très plaisir de pouvoir vous connaitre un peu plus.

pour ma part cela sera un peu plus bref :
31 ans, pas d'enfants

42 ans et 3 enfants:
- Maiwenn Elin, presque 16 ans ans
- Anja Solen, 12,5 ans
- Nils Johan, presque 10 ans

nous sommes dans les mêmes age Mats, tu as eu ta première plus jeune que moi. hi hihi

depuis que j'ai écrit se poste les ages ont changé.

14 ans
13 ans dans quelques dodos
11 ans
et 10 ans dans un mois,

le temps passe vite vite vite

Comme tu le dis, Bartok, le temps passe très, très vite...

Et encore, vous êtes tous plus jeune que moi... Et oui, je suis le plus vieux.

Vous verrez quand vous aurez mon âge...

Et le premier ou la pemière, qui me traite de papi, je lui mets une fessée c_l nu....

Nan, mais...


Par contre, Mats, ils sont super chouette les prénoms de tes enfants...

- Maiwenn (breton) Elin (suédois)
- Anja (suédois) Solen (breton)
- Nils (suédois) Johan (suédois / assimilé breton)

et Mats est mon vrai prénom (suédois bien sur).

Penn Ar Avel Vras a une signification en breton (de cuisine car je ne parle pas cette langue). Je vous laisse chercher... mais ne m'en voulez pas après que vous aurez trouvé !

Ca y est, j'ai trouvé, pourquoi le prénom Mats me disait quelque chose. Pour les plus jeunes, d'entre vous, vous ne devez pas le connaitre.

Mais, pour ma part, cela me rappelle de longues heures devant la télé, à regarder les tournois de Tennis. Le nom de ce joueur de tennis Suédois est Mats Wilander... Il avait été numéro 1 mondial, après un autre grand joueur de tennis Suédois : Bjorn Borg.

Tout juste !

Et pour mon patronyme rp? Des propositions?

C'est, je suppose du Breton ou du Celte...

Mais là, je sèche....

Effectivement. J'ai utilisé des traducteurs disponibles sur Internet.

Allez, je vous laisse encore quelques jours.

Je donnerais comme traduction :

Mats la tête au vent ou Mats tête en l'air...

Mais je ne suis vraiment sur de rien....

Hum, cela se voulait plus valorisant...

Réponse vendredi.

Devant l'enthousiasme général que cette petite quête a déclenché, je ne peux plus résister et vous livre la réponse:
Mats Penn Ar Avel Vras se voulait être la traduction de
Mats Chef des Elfes

Pas ambitieux pour deux sous, non?

Et bien...

C'est vrai pas ambitieux du tout...

Qui sait un beau jour ou peut être une nuit.....

En rêve, tout est permis...

Et voici, celui qui fut le mien le temps d'un rp....Ou peut être plus qui sait?




Au fond des bois, où était son refuge, le vieil elfe songeait. Assis, contre un de ses pairs, ces grands arbres, dont tout ceux de sa race tiraient leur force, il méditait. Il se rappelait les grands moments de son existence, les bons souvenirs et les pires de ses cauchemars. Certains de tout ceux-ci s’étaient estompés de sa mémoire, pour d’autres, il ne lui en restait que quelques brides. Mais, un, demeurait vivace dans son esprit, jusqu’au jour de son départ de ces terres, il serait dans sa mémoire comme le plus bel espoir de tout un peuple.


Il n’était alors qu’un tout jeune elfe insouciant de toutes les vicissitudes de la vie. Il passait le plus clair de son temps à courir les sentiers, les bois, les cascades et les torrents, avec ses amis, ceux de sa race, les elfes sylvains. La vie s’écoulait, tel un long fleuve tranquille. Les guerres étaient passées, et lui, ne les avait pas connues. D’ailleurs peu d’entre les siens, n’en avait souvenir. Il ne connaissait qu’une race, la sienne.


Il avait entendu parler ses parents, d’une race semblable à la leur. Qui leur ressemblait, sur quelques points, mais qui n’avait pas les mêmes préceptes de la vie. Ils souillaient, ce qui pour eux, était l’essence même de la vie, la sève primaire sans qui rien ne serait. Ils polluaient, saccageaient, et détruisaient la nature. Eux, qui avait pour nom les humains. Il n’en avait jamais vu. Et peu les connaissait.
Il avait pu observer, un jour, aux abords de la grande montagne, des êtres bizarres, petits, portant des cheveux sur leur visage, gesticulant et criant plus qu’ils ne parlaient. Il avait pris peur, pensant que c’était des démons, et était venu se réfugier auprès de sa mère. Il apprit de sa bouche le nom des ennemis de sa race : les nains.
Quand aux autres races, trolls, orcs, centaures, félys, et saurus, il en ignorait leur existence et même leur nom.


Mais depuis quelques temps, le bruit des batailles se faisait de nouveau entendre au loin. Les elfes étaient protégés dans ces bois. Rien ne pouvait leur arriver. Mère nature veillait sur eux. Mais voilà, toutes les forces du Mal s’étaient liguées. La terre était en sang. Les Dieux avaient fui. Les Sages étaient enfermés, séquestrés, prisonniers de Tanédhel et de ses démons.


La guerre grondait aux portes du domaine des elfes.


Il était l’heure pour lui de grandir. Les cornes elfiques se firent entendre. Sans un mot, son père le regarda et lui fit signe de le suivre. Ils devaient rejoindre la Grande Clairière, lieu de rassemblement des elfes. Tout le peuple elfique convergeait vers le lieu sacré. Certains se saluaient, d’autres parlaient à voix basses, beaucoup se taisaient, même les plus jeunes se tenaient tranquilles. Tous sentaient que l’heure était grave. La tension était palpable. La nature était silencieuse, aucun chant d’oiseaux, nul bruit d’animaux. Le temps semblait suspendu. Les elfes avaient répondu présent à l’appel des cornes, mais leurs visages trahissaient l’angoisse.


Au centre de la clairière se trouvait un rocher, ou plutôt une très haute pierre plate, un promontoire. Tous avaient les yeux rivés vers elle.


Puis, tout à coup une lumière éblouissante apparue. Malgré, la lueur, tous gardaient le regard figé sur elle. Un être, grand, beau malgré son âge, tout de blanc vêtu, avec de longs cheveux blancs, une aura lumineuse autour de lui se tenait maintenant sur la pierre. Sa voix s’éleva douce et grave à la fois.





Puis l’aura qui entourait l’elfe se fit plus vive, plus intense, et il disparut à la vue de tous.

Sur le chemin du retour, il se tenait aux côtés de son père. Marchant d’un même pas, il tournait fréquemment, son visage vers lui, d’un air interrogateur. Mais pas une seule fois, son père ne répondit à son attente. Pas une seule fois, il ne lui adressa la parole. Arrivés chez eux, il s’adressa à lui.
« Mon fils tu l'as entendu comme moi; comme nous tous. Ce qu'il dit est vrai et tu le ressentiras bientôt, toi aussi. Un chemin ce soir a été tracé devant toi. Tu sais, maintenant ce que tu devras faire, et ce que ton peuple, les elfes quels qu'ils soient, attend de toi.»

Le vieil elfe sortit de son sommeil, et de son drôle de rêve, venu du fond de sa mémoire. Il reprit son bâton de pèlerin pour aller à la rencontre des siens, à la Grande Clairière, comme tous il savait la nouvelle guerre imminente, celle des races. Mais comment, le peuple des elfes pourrait se sortir de cette guerre, tant qu’il ne serait pas uni tels les 5 doigts d’une main.

Là, dans le lieu sacré, se tenait devant lui, les Grands Seigneurs elfiques. Ils avaient répondu à l’appel, envoyé, il y a bien des lustres par cet être de lumière. Ils se tenaient là, face à lui, malgré leurs différences. Ils étaient de nouveau unis pour la gloire de leur race.