empoisoné

Johrel a son habitude deambuler seul dans les jardin de ce lieu fantastique, l'herbe semblais portait cette etre avec fierté et dignité comme si chaque brin etait doter dun pouvoir de decision. Et que seul ceux qui ete digne pouvais fouler. La terre apporter tant a cette matiere, vie ou mort, quoiqu'il en soit c'est le cycle de la vie, un cercle universelle qui meme en ces lieux ne deroge pas a la regle.
Johrel etait reconnaisant, il voyait, sentait ... son corps si pur lui obeissait si seulement il savait a ce moment que tout droit etait la croisé du chemin.
les plantes au detour du santier firent leurs apparitions, melange de couleur et d'odeur. Tout les sens en eveil, c'etait beau. Merveilleux. Sans mots pour decrire le paysage qui soffrais a ses yeux.

Une hombre passa, un tueur, non il savait, il sentait. un serviteur. Un traitre l'avait fait entré.
Johrel se dit que le combat ne pouvait etre eviter, il etait la pour lui.

Assassin venut semé discorde sort, je suis la

Il etait la cacher dans la verdure, mais une ombres dans la lumiere, c'est trop visible.
Johrel etait chez lui, il sortit son arme, sa lame de cristal blanc, on voyait la pureté de la forge. Johrel se concentra ferma les yeux ecouta le vent

** Souffle du vent, de petite brise devient raffale**

les arbres souvrit sous sont ordre, laissant apparaitre un etre immonde, armé d'un athame, il etait la. aveugle mais souriant il voyait sans ses yeux. il chargea avant meme que Johrel eut fait un mouvement.
L'experience du maitre de guerre prit vite le dessus, sans son armure. il aurait tres certainement trepasser.

Un bruit, fin, leger. un bruit que johrel connaissait, transpercement de l'air. johrel fit un pas de coté, pour eviter la fleche il ete plusieur, deux ...
johrel pouvais pas se charger des deux. Pendant son mouvement d'escquive il perdit son attention et fut frappe par l'athame empoisoner. les force le perdé, le seul reconfort c'est que sa lame etait dans le corps de son ennemis.
Les deux etre gisait a terre, seul le chef pourrait le guerrir a pressent, il le savait mais l'otre etait la. Johrel sans aide mourra.

Yann le saumonnier, était assis dans la niche du mur près de la grande battisse qui abritait la salle du conseil des Sages. Il aimait se retrouver là, à l'ombre bienfaisante des arbres, pour méditer. Dans le calme de ce jardin où tout n'était qu'harmonie. Mais il était soucieux, le clan, qu'il aimait tant, n'allait pas bien. Des membres le quittaient sans raison apparente, sans prévenir ni expliquer leurs gestes, d'autres refusaient l'autorité, d'autres encore ne répondaient à aucune sollicitation. Il allait devoir prendre des décisions qui ne le réjouissaient en aucune manière. Il allait devoir se séparer de certains de ses membres qui ne voulaient pas participer à la vie de l'alliance.

Il avait senti la présence dans ce jardin de Johrel. Le maître de guerre de l'alliance elfique aimait venir se ressourcer dans cet espace de paix, et de tranquillité. Il avait besoin de venir dans cet havre de calme pour se ressourcer, pour y réfléchir. Nul être mauvais ne pouvait pénétrer dans cet Eden, Tout la magie et la science des elfes étaient déployées afin de le protéger.

Yann était soudainement devenu inquiet. La nature, autour de lui, venait de se transformer. Alors qu'un instant auparavant tout était joie et sérénité, le silence venait de s'abattre sur la forêt et le jardin. Plus un seul chant d'oiseau, plus un seul bruit, l'atmosphère était pesante. Il ressenti subitement des présences étrangères, maléfiques. Il craignit pour la vie de Johrel, il le sentait en danger.

Mais au moment d'utiliser son sort de dispersion corporelle afin de venir en aide à son ami, il ressenti une violente douleur au plus profond de lui-même. Son maître de guerre venait de se faire attaquer, mais pire que cela il était gravement atteint. Il n'y avait pas de temps à perdre. Yann accouru le plus rapidement jusque sur les lieux du combat. Il eut juste le temps de voir une ombre furtive s'enfuir. Il ne pouvait ni ne devait tenter de la rattraper. Il devait faire tout son possible pour tenter de sauver Johrel.

Johrel était là, devant lui, étendu, sur le côté, faisant face à la dépouille de son ennemi, la main agrippée au pommeau de son épée. Celle-ci scintillait encore, faiblement peut être, mais elle scintillait toujours. Toute vie n'avait pas encore disparu de Johrel, l'athame empoisonné l'avait frappé mais l'espoir demeuré. La forte constitution de son maître de guerre le sauverait peut être.

Il s'agenouilla auprès de lui, et le mit sur le dos. Il arracha l'épée de Johrel du corps de son ennemi et la posa sur lui. Le teint de son ami était livide, les forces le quittaient, sa vie s'échappait. De sa besace, il sortit une fiole d'antidote des prêtres qui pouvait soigner toutes les formes de poison. Il entrouvrit les lèvres de Johrel et y laissa couler le liquide.

L'éclat de la lame devenait de plus en plus faible. Johrel devait lutter, il ne devait pas mourir, il avait encore de grandes causes à défendre. Il devait rester en vie. Puis l'éclat de la lame disparu.

Yann imposa alors une main sur la tête de son ami et l'autre sur sa blessure. Il récita une prière venue du fond des ages que lui avait appris son maître. Il maîtrisait l'art de la guérison, il avait déjà sauvé bien des vies, il ne pouvait ni ne devait échouer.

Puis Johrel eu un premier spasme, un deuxième puis un troisième. Il fut pris d'une violente toux. Il ouvrit en fin les yeux. L'épée avait de nouveau repris ses éclats. Il allait vivre. Johrel voulu parler, mais Yann l'en empêcha.

Avait-il vu ses assassins? Les connaissait-il? Comment la magie des elfes n'avait pas pu protéger ce jardin? Tant de questions qu'il se posait et auxquelles il n'avait pas de réponses. Mais quand son ami se serait remis, ils pourront peut-être apporter une solution à tout cela.

Johrel etait alongé sur le sol, toute trace de la pureté dentant etait pour le moment absent, johrel n'entendais plus, ne voyais plus. le poisons etait violent, c'etait l'un de ceux qui ne pardonné pas.

il faisait noir, froid, nul peur envahissait ce corps qui devenait de plus en plus blanc, la vie a cette seconde precise fut finit pour la belle foret et ses jardins environnant comme si tout attendait l'issus fataliste de l'histoire.

la force de chaque element etait la a ses coté comme pour le maintenant dans une stase pour que celui au coeur pur puisse le sauver. Cette etre n'etait autre que celui qui dirigé le clan, celui que johrel avait fierté d'appellé chef, celui qui etait avant tout son ami. Yann le saumennier, vetu dune aura puissante, le maitre de guerre le sentit approcher.
douce chaleur dans ce froid de la mort.
le sombre le gagner de plus en plus, il etait a present a la croisée des chemins, il devait choisir entre la pleinitude de la mort ou l'enfer de la vie.

Son choix se resumer donc a choisir entre la quietude ou le clan, pour cela il vit devant lui une elfe. d'une beauté a couper le souffle d'un age quasiment similaire a celui de Johrel, celle ci il la reconnut. Une larme coula le long de la joue de Johrel, cette femme c'etait sa mere, quand elle etait jeune quelque temps avant quelle soit assassiné par des dissiple noir

Johrel savait qu'il se devait deliminé, le malin dans le coeur de toute ses especes. Un Homme apparut tres fort, avec les trait de Johrel, c'etait son pere. le feu bouillonnée en ses veines, en effet son pere aimé manipuler le feu de son vivant et c'est grace au feu que Johrel n'etait pas mort lors de lattaque fatal.

**Johrel, tu as bien grandit, te voila aujourd'hui un Homme fier. Tu es ici avant ton heure, recherche en toi les valeur qu'on ta apprit. Regarde cette homme que t'admire te sauve aide le, a te ramener fait le chemin inverse.
Johrel compte sur ta lame, elle et toi ne faite qu'un. **

Johrel se retournit pour faire demi tour et revenir vers son clan, il fit quelque pas puis tourna la tete vers l'endroit ou ete ses parents,... plus rien.
il devait demeurer en vie, devant lui apparut son epee. Johrel avanca a petit pas et agrippa le manche ...

La lumiere fut vive le bruit si fort, Johrel voyait et reentendait, les oiseaux, le soleil ... tout mais ce qui l'eblouit ce fut la lame de son epee qui se fendit, le sang coula du cristal. Ce sang cetait celui de Johrel, celui soullez par le poison.
Johrel allais un peu mieu maisla tete lui tourné, c'etait du au faite qu'il avait perdu du sang. Il avait essayez de prononcer des mots mais son chef et neanmoin sauveur len disuada

La lame resterai fendu a jamais a present, le poison avait laissez des sequel en Johrel, les tremblements de son corps persisterai t'il?
pourras t'il retrourner sur un champs de bataille.

Le maitre de guerre regarda les yeux du chef, sans parlez il le remercia mais y l'y lu l'inquietude et toute les questions qu'il devait se posez
Johrel s'en posez aussi Qui etait le traitre? avait t'il deja quitter le clan? pourquoi envoyez des assassins? et surtout pourquoi les soldats aveugle navait pas finit le travail?
Ils etaient reputer pour etre des mercenaires, et pour finir ce pourquoi il etait payez.
Johrel etait faible et ne put rien dire, ses yeux se fermerent sur une nature qui reprit vie. Toute ses force ou presque lui reviendrai, en tout cas il l'esperé.

Une année après ses évènements le maître de guerre revint a l'endroit précis ou son sang avait coulé. A la place de la flaque se tenait une fleur, rouge comme le sang, dangereuse comme le poison. A coté rien, le terrain a cette endroit qui été jadis si fertile avait aujourd'hui perdu son caractère verdoyant.
Bien sur la nature reprit son cour au delà de ses quelques centimètres ou régné a présent la mort. Un des nombreux tremblements qui été les sequels de cette aventure le prit tout a coup, son genou toucha terre, bien sur maintenant il contrôlait un peu mieux ses spasmes et ils furent moins terrible que l'année qui venait de s'écouler.

Le clan avait changé seul les braves et téméraires été restée. Ce clan été une confiance personnifiée. Yann avait cédé le pouvoir a un homme d'une force inimaginable.

Sa y'est le calme en son corps été revenu, il resta a genou devant cette fleure, son épée était toujours fendu. Une foule de souvenir lui remonta a la mémoire.